“Comment amener les élèves à habiter un régime intermédiatique ?” : Cadrage scientifique - NormanDoc'

“Comment amener les élèves à habiter un régime intermédiatique ?” : Cadrage scientifique

, par Anne Cordier, Anne-Sophie Closet, Cyrille Delhaye, Eric Garnier, Frédéric Rabat, Heloïse Lécaudé, Sophie Bocquet-Tourneur, Sylvia Couvez - Format PDF Enregistrer au format PDF

Descriptif :

Le cadrage scientifique comprend l’explication des principaux Retour ligne automatique
concepts sur lesquels le groupe DidacSic s’est appuyé pour construire les situations d’enseignement-apprentissage.

Régime intermédiatique

Archéologie du concept

Développé par Yves Jeanneret (SIC)

  • Les médias se répondent, s’enrichissent, se complètent
  • Chaque média se positionne vis-à-vis d’une économie générale, dite "économie intermédiatique"

Exemples :

Anne Cordier : « La chaîne de ressources informationnelles de Flavien »

Des titres de presse imprimés à la presse en ligne ; de l’émission de télévision à une chaîne Youtube ; hashtag et émissions de télévision.

Apports de ce concept à la compréhension du monde social

  • Sortir du mythe du Grand remplacement médiatique mais aussi de la Rupture (technologique voire anthropologique). De fait, le concept de Régime intermédiatique interroge la notion de « culture numérique »
  • Adopter un regard (et donc une prise en compte pédagogique) global(e) complexe, (au sens de Edgar Morin) sur les pratiques informationnelles et médiatiques :

=>Des séances pour démontrer aux élèves le régime intermédiatique

=> Des séances de formation qui comprennent la dimension intermédiatique

Dispositif info-communicationnel (ou Média)

  • Jean Meyriat (documentaliste et théoricien de l’information-documentation)
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    A défini dans les années 1980 le dispositif informationnel comme un « dispositif cognitif porteur d’informations dormantes, transformables en connaissances ». Retour ligne automatique
    Cette définition souligne en creux l’importance de la médiation qui va permettre la transmission.
  • Viviane Couzinet (SIC)
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    C’est aussi là qu’intervient la dimension communicationnelle, processus social au cœur de tout dispositif (Couzinet, 2009). Viviane Couzinet définit ainsi le dispositif comme un « ensemble de liens unissant celui qui produit de l’information, celui qui permet sa circulation, celui qui intervient pour faciliter la diffusion et enfin celui qui est capable de se l’approprier comme contenu permettant d’agir ». Retour ligne automatique
    D’où la nécessité de l’élaboration de la notion de dispositif info-communicationnel qui formalise l’interdépendance entre information et communication.Retour ligne automatique
    Parmi les dispositifs info-communicationnels, nous trouvons aussi les dispositifs documentaires (CDI, bibliothèque, portail documentaire...) (cf les travaux d’Isabelle Fabre et de Cécile Gardiès).
  • Yves Jeanneret (SIC)
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    Le terme est ainsi mobilisé dans différents contextes de communication (dispositif médiatique, dispositif télévisuel, dispositif éditorial ...), car il permet de souligner que « la communication suppose une organisation, repose sur des ressources matérielles, engage des savoirs faire techniques, définit des cadres pour l’intervention et l’expression ». Retour ligne automatique
    Yves Jeanneret souligne que la notion “porte en elle l’idée que l’outil de communication n’est pas neutre”
  • Anne Cordier (SIC)
    • « L’approche de l’appropriation consiste à établir un focus sur la mise en oeuvre des objets techniques dans la vie sociale, et s’attache à décrire le processus de développement des pratiques par une approche centrée sur les usagers. Nous entendons ainsi par appropriation que les usages sont des construits sociaux et individuels se développant dans le quotidien. L’appropriation a dès lors deux dimensions : une dimension cognitive (apprentissage de connaissances, de vocabulaire, pratique en acte), et une dimension corporelle (familiarisation au dispositif technique). »Retour ligne automatique
      La chercheuse s’appuie sur le concept « d’action située » développée par l’anthropologue Lucy Suchman pour affirmer que « Faire preuve d’intention écologique, c’est pour nous reconnaître le rôle fondamental de l’environnement dans lequel le sujet instaure sa relation à l’outil de recherche numérique. L’approche écologique contribue à englober dans un vaste cadre socio-technique l’ensemble des éléments qui subissent des modifications de façon simultanée, et inclut ces éléments au sein d’un environnement informationnel situé. Nous soutenons que l’activité de recherche est une action située, dépendant fondamentalement des circonstances matérielles et sociales de son exercice »
    • Anne Cordier rappelle également l’importance de l’affect, notamment à travers le design des dispositifs : Retour ligne automatique
      « Tous les jeunes rencontrés, quel que soit leur âge ou leur niveau de formation, apparaissent extrêmement attentifs au design des dispositifs qui leur sont proposés. Le recours à Discover est facilité par un design qui apporte des indices sur l’utilisation de l’objet (affordances) ainsi que par la capacité d’inférence qu’il favorise [...] Dans la même logique, le design peut, à l’inverse, jouer un rôle repoussoir pour l’accès à l’information en ligne, notamment parce que le modèle mental d’explicitation du fonctionnement du dispositif n’est pas approprié par les utilisateurs visés. […] Là encore, c’est le critère esthétique qui est avancé comme argument imparable pour rejeter le dispositif : « L’ENT c’est le truc du lycée, d’ailleurs ça se voit c’est lent et c’est moche », ricane Olivier, élève en Seconde. […] Retour ligne automatique
      Ce design attractif entretient aussi souvent la sensation d’une transparence dans la diffusion de l’information et partant, dans l’esprit des utilisateurs, dans sa fabrication même. Il influe dès lors directement sur l’imaginaire de l’outil de recherche d’information, et de l’activité informationnelle. Un imaginaire qui nous parait essentiel à prendre en compte dans une approche sociale des pratiques informationnelles, en ce qu’il permet de mettre en avant la dimension fondamentalement émotionnelle (prise en compte de l’expression des désirs, des angoisses...) et active de la pratique, toute action humaine comprenant une forme symbolique. [...] L’ensemble de ces observations de terrain conduit à interroger la prétendue fonction de médiation des dispositifs d’accès à l’information en ligne, une médiation qui est en réalité l’exercice d’une emprise destinée davantage à conquérir des consommateurs que d’assister des chercheurs d’information, soulevant la question de l’éthique inhérente à toute médiation (Simonnot, 2014). »

Habiter

Archéologie du concept

  • A l’origine, Martin Heidegger (philosophie)
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    « L’habiter » est un mouvement en devenir qui résulte d’une intention humaine, ce n’est pas en soi une caractéristique de l’être humain.



  • Jacques Lévy et Michel Lussault (géographie sociale) Retour ligne automatique
    « Habiter, c’est s’approprier un espace de travail, c’est animer un espace public, c’est entretenir des relations affectives fortes, fussent-elles invisibles ou muettes, à un lieu » (Lévy)


  • Tim Ingold (anthropologie) Retour ligne automatique
    L’habiter demander intention et conscience : il s’agit de tramer des cheminements au sein des lieux fréquentés, en y tissant du lien social, en prenant soin de ces lieux.

=) Prendre soin des lieux pour leur donner du sens et inversement (or les individus modernes sont des « inhabitants » : domination d’une philosophie de « l’occupation » au détriment de « l’habitat »)

Apports de ce concept à la compréhension du monde social

  • Les difficultés d’orientation dans l’espace, documentaire comme virtuel, des acteurs·rices (question du sens attribué à l’espace proposé)
  • Détournement d’usage de certains lieux publics… ou plutôt évolution des usages, de la représentation symbolique des espaces et des territoires. Exemple des « troisièmes lieux » ou des « bibliothèques-cafés » ou encore exemple de la FNAC
  • Habiter : une revendication Politique ! Exemples : « Gilets Jaunes », « Nuit Debout » ou encore « Manifestation Rage de Nuit » (27/11/2010)

Médiations des savoirs

Archéologie du concept

  • Yves Jeanneret, Annette Béghin, Vincent Liquète... (SIC)


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    C’est la recherche du lien entre l’énonciateur et le récepteur. Ce lien s’établit grâce à une tierce personne et/ou un ensemble de techniques, d’outils, de messages ou d’interfaces qui accompagnent le récepteur afin de lui faciliter la compréhension par la construction de sens, ce qui peut se solder par un changement (d’actions, de représentations, etc.) de sa part.
  • Bernard Lamizet (SIC)
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    La médiation des espaces de communication : la médiation s’opère à travers plusieurs espaces « où se met en œuvre la communication sociale » :
    • Les « espaces de conflit et de concurrence » (Ex : un marché, une place boursière)
    • Les « espaces d’expression et d’exercice du pouvoir politique » (Ex : un média de masse, une administration)
    • Les « espaces de représentation » (Ex : un musée, un théâtre)
  • Anne Cordier et Vincent Liquète ajoutent les « espaces dits immatériels »…

Apports de ce concept à la compréhension du monde social

  • Le « bain de lecture »… ou l’illusion de la médiation immanente !
  • Quand la médiation fait défaut : le retrait des personnels des bibliothèques dans l’accompagnement des usagers lorsque recherche d’information numérique (Travaux de Mariangella Roselli, Anne Cordier, etc...)
  • L’apprentissage de la littératie numérique… quand la médiation s’impose, car la « médiation numérique » n’existe pas !

=> Sortir du mythe de la désintermédiation à l’heure du numérique (confusion entre accès et appropriation ; confusion entre Donnée/Information/Connaissance/Savoir).

=> Réaffirmer LES MédiationS des Savoirs en Information-Documentation :

=) Des séances pour conscientiser des pratiques informationnelles


=) Des séances pour analyser ensemble les processus de médiations à l’œuvre par le numérique et leur influence sur l’appréhension émotionnelle, cognitive et pragmatique de l’information


=) Des séances pour conscientiser ET le régime intermédiatique ET les processus de médiations des savoirs… ET favoriser un Habiter actif de l’espace informationnel

Reliance

Archéologie du concept

  • Marcel Bolle de Bal (sociologie)
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    Aspirations d’une population ou d’une société à retrouver du lien social
  • Edgar Morin (sociologie)
    • « La notion de reliance comble un vide conceptuel en donnant une nature substantive à ce qui n’était conçu qu’adjectivement et en donnant un caractère actif à ce substantif. « Relié » est passif, « reliant » est participant, « reliance » est activant »
    • Le projet et l’acte de reliance recouvrent 3 dimensions : reliance à soi, aux autres et au monde
  • Anne Cordier (SIC)
    • « Un impératif social, moral et intellectuel dans le champ des cultures de l’information »
    • Intention, volonté, de se relier à autrui de façon à la fois active et consciente. Une dimension de l’interrelation singulier/collectif qui est parlante pour le rapport à l’information et aux médias.Retour ligne automatique

      Les pratiques s’inscrivent toujours dans une dynamique collective – perspective systémique – et les imaginaires partagés nous relient aussi les uns aux autres, à travers des représentations, des valeurs, des répertoires ou encore des projections d’actions en commun.

Apports de ce concept à la compréhension du monde social

De la reliance entre pratiques formelles et pratiques non formelles

  • Parce qu’elle met en avant le processus selon lequel des connaissances et des cultures sont activement mises en lien, de même que les individus, fédérés par le souci de mener à bien une action collective (Morin, 1980), la reliance permet aussi de saisir les conditions d’une dissémination des cultures de l’information dans l’école.
  • L’entrée par la reliance permet de rompre avec les entrées par les outils, ou encore les tâches, en considérant l’interrelation acteurs/dispositifs. Ainsi, le concept renvoie également à l’acceptation de l’incertitude et au “lâcher prise” et un regard ouvert sur les pratiques de l’autre (capacité à s’adapter).
  • Une conception résolument transdisciplinaire des cultures de l’information

Complexité

Edgar Morin

Le terme latin complexus signifie “tissé ensemble”. Le concept de complexité renvoie donc à l’idée que des liens existent entre les éléments d’un Tout qui se trouve être un système (comme par exemple l’économique, le politique, le culturel). Dans son principe même, le concept promeut donc la transdisciplinarité pour favoriser une approche globale de la connaissance qui fasse sens.

Edgar Morin souligne également la nécessité de contextualiser toute connaissance tout en étant capable d’intégrer un savoir dans le système où il se trouve et où il participe (la pensée doit être capable d’isoler mais aussi de relier et de recomposer). Aussi, Edgard Morin considère que plutôt d’accumuler des savoirs, il est plus important de développer une capacité à poser et à traiter des problèmes et de disposer de principes organisateurs qui permettent de relier les savoirs et de leur donner sens. De ce fait, la pensée complexe aide à affronter l’erreur, l’incertitude et le risque et appelle au déploiement de stratégies. S’ajoute également la nécessité de développer la capacité à considérer les antagonismes comme pouvant être complémentaires et nécessaires.

Situation didactique

Guy Brousseau (didactique des mathématiques)

La situation didactique décrit les relations pertinentes d’un sujet-apprenant avec le sujet-enseignant et avec un milieu mobilisé par ce dernier pour lui faire approprier un savoir. L’ensemble forme un écosystème qui doit faire sens pour l’élève et favoriser les apprentissages.

« Une situation est caractérisée dans une institution par un ensemble de relations et de rôles réciproques d’un ou de plusieurs sujet (élève, professeur, etc.) avec un milieu, visant la transformation de ce milieu selon un projet. Le milieu est constitué des objets (physiques, culturels, sociaux, humains) avec lesquels le sujet interagit dans une situation. Le sujet détermine une certaine évolution parmi des états possibles et autorisés de ce milieu, vers un état terminal qu’il juge conforme à son projet. Remarquons qu’une tâche est une action acceptée a priori par l’actant comme étant déterminée dans une situation convenue. La situation permet de « comprendre » les décisions du professeur et des élèves, erreurs ou appropriées. » (Brousseau, 1998)

Milieu et Contexte

  • Pour Guy Brousseau,

le milieu a d’abord été envisagé sous le prisme de l’interaction : « Le milieu, c’est tout ce avec quoi l’élève interagit, que ce soit des problèmes, des objets ou des individus » puis il modélise les relations entre l’élève et les objets de la situation en termes de « jeux ». Retour ligne automatique
Le milieu est alors considéré comme ce avec quoi ou contre quoi l’élève joue. La notion de milieu selon Brousseau fait référence à un apprentissage « par adaptations » aux milieux, une théorie proche du constructivisme (cf Jean Piaget : le milieu est considéré comme un contexte cognitif pour l’action).

  • Jean-François Halté (didactique du français)

La notion de contexte de la situation rassemble les éléments de la situation avec lesquels l’élève est dans une relation de sens, c’est-à-dire l’ensemble des objets sémiotiques, de signes propres aux élèves et au professeur et qui conditionne les conduites de chacun dans une situation donnée (contrainte, autorisation). La notion de contexte suppose que l’on considère l’apprentissage comme le résultat d’une « négociation de sens » (Halté, 2005). Il s’inscrit dans un processus (« acte d’apprendre ») dans lequel le langage joue un rôle important, notamment pour faire émerger les représentations qu’ont les élèves de la situation mise en place.

Références

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CORDIER Anne (2011) Imaginaires, représentations, pratiques formelles et non formelles de la recherche d’information sur Internet : Le cas d’élèves de 6ème et de professeurs documentalistes.[En ligne] Sciences de l’information et de la communication. Université Charles de Gaulle - Lille III [Réf 07 janvier 2021] Disponible à l’adresse suivante : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00737637/document

CORDIER Anne. (2017) « Du design de la transparence à l’agir informationnel : Les apports d’une approche sociale de l’information » [en ligne]. ISTE Éditions. In :Conférence internationale H2PTM “ Le numérique à l’ère des designs : De l’hypertexte à l’hyper-expérience ”, Oct 2017, Valenciennes, France. [Réf 07 janvier 2021] Disponible à l’adresse suivante : https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01599184/document

CORDIER Anne, LIQUÈTE Vincent (2018) Utopies contemporaines en information-documentation. Paris-Londres : ISTE Éditions, 246 p.

COUZINET Viviane (2011) « Les dispositifs : question documentaire ». In : Gardiès, Cécile (dir.) Approche de l’information-documentation. Concepts fondateurs, Toulouse : Cépaduès Éditions, pp.118-119

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INGOLD Tim, RENAUT Sophie (trad.) (2011) Une brève histoire des lignes, Bruxelles : Editions Zones sensibles, 256 p.

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